Floradix®  pour les femmes

Les femmes ont plus souvent un besoin accru en fer.

Les femmes en âge de procréer sont considérées comme le principal groupe à risque de carence en fer. Même chez les filles, le besoin en fer peut augmenter après le début des règles. Mois après mois, une femme perd du fer précieux en raison de ses règles. La perte de sang signifie la perte de fer. Celle-ci doit être compensée par une alimentation riche en fer ou une préparation à base de fer . 

Les femmes ont besoin de plus de fer

Les femmes en âge de procréer sont considérées comme le principal groupe à risque de carence en fer. Les femmes enceintes et celles qui allaitent sont dans le collimateur. Mais même sans grossesse, l'équilibre en fer des femmes est menacé.

Le corps a besoin de fer pour la formation des cellules et du sang et pour de nombreux processus métaboliques, dont la production d'énergie. Le médecin peut voir l'état de l'oligo-élément dans le corps grâce aux valeurs sanguines. La "ferritine sérique" montre à quel point les réserves sont pleines. A partir de la puberté, ces valeurs baissent chez les femmes en dessous de celles des personnes de référence masculines. La menstruation, c'est-à-dire la perte cyclique de sang, fait des ravages. Environ deux tiers du fer corporel sont liés aux globules rouges et la perte de sang d'une période normale est en moyenne de 30 ml (= 15 mg de fer) et reste constante pendant de nombreuses années.

Une compensation n'est possible que par l'alimentation. Le corps ne peut pas produire lui-même de fer. Pour assurer un bilan de fer équilibré, les femmes qui ont leurs règles doivent consommer environ 15 mg de fer par jour avec leurs repas. Même les saignements cycliques normaux  peuvent ainsi souvent entraîner une légère carence en fer chez les femmes au fil des ans.

Un besoin élevé en fer à certaines étapes de la vie

Chez les femmes enceintes, s'ajoutent les besoins accrus liés à la formation de nouvelles cellules et de sang pour l'enfant, les pertes de sang lors de l'accouchement et ensuite les pertes de fer via le lait maternel lors de l'allaitement. Dans de nombreux cas, il n'est pas possible de compenser uniquement par l'alimentation.

La situation peut également devenir critique juste avant la ménopause, lorsque les menstruations peuvent être prolongées et particulièrement massives en raison du changement hormonal. Les hauts et les bas hormonaux de la puberté provoquent souvent des saignements importants. Etant donné que les poussées de croissance avec la formation de nouvelles cellules et de nouveaux vaisseaux sanguins épuisent les réserves de fer, les jeunes filles risquent de développer une carence en fer, surtout si une alimentation unilatérale et réduite ne permet pas de se réapprovisionner.

Sources

• Nielsen, P. : Diagnostic et traitement de la carence en fer avec ou sans anémie (Bremen 2016).
• Deutsche Gesellschaft für Ernährung e.V. : Valeurs de référence du fer (2017).
• Hallberg, L. et al. : Constance de la perte de sang menstruelle individuelle, in : Acta Obstet Gynecol Scand (1964).

Floradix® en cas de désir d'enfant

Idéalement, les femmes devraient reconstituer leurs réserves de fer dès le début du planning familial.

Les besoins en fer sont particulièrement élevés, par exemple en cas de règles plus abondantes ou pendant la grossesse et l'allaitement. Ainsi, peut être judicieux de veiller à ses réserves de fer avant même d'être enceinte. De plus, l'acide folique est particulièrement important en cas de désir d'enfant et pendant la grossesse, car l'acide folique (folate) contribue à la croissance des tissus maternels. 

De l'acide folique déjà avant la grossesse

L'acide folique et la croissance sont étroitement liés. C'est pourquoi les femmes qui souhaitent avoir un enfant et les femmes enceintes doivent veiller à avoir un apport suffisant en cette vitamine.

Dans le corps, la tâche centrale de l'acide folique est la formation de nouvelles cellules et de sang. Des millions de cellules sont produites chaque seconde avec son aide : Les cellules pour la santé de la peau et la croissance des cheveux, les globules rouges pour le transport de l'oxygène, les globules blancs pour la défense contre les agents pathogènes. La vitamine fait donc aussi partie intégrante du processus de croissance, c'est pourquoi une carence est particulièrement critique pendant la grossesse. En cas de carence en acide folique, le risque de malformations du système nerveux central et de dos ouvert augmente pour l'enfant à naître.

L'acide folique dans les aliments

En tant que vitamine B9, l'acide folique appartient au groupe des vitamines B et est soluble dans l'eau. La forme naturelle de cette vitamine dans les aliments est appelée folate. Le corps ne peut pas produire d'acide folique, il doit l'absorber via l'alimentation. Les sources sont les légumes verts comme les salades vertes, les épinards, les blettes, les brocolis et autres choux, le persil, les légumineuses, le son, les céréales complètes, les noix et les jaunes d'œufs. L'acide folique est extrêmement sensible à la chaleur ainsi qu'aux rayons UV et se dégrade rapidement lorsque les aliments sont stockés, transformés et cuits. Seuls les aliments très frais, crus ou cuits doucement avec peu d'eau et à feu doux, donnent un bon rendement. L'alcool et certains médicaments inhibent l'absorption de l'acide folique dans l'intestin.

Besoin et complément alimentaire

De nombreuses personnes ne parviennent pas à couvrir leur besoin quotidien de 300 microgrammes d'acide folique (400 microgrammes pour les femmes enceintes) par le biais de leur alimentation. Si l'approvisionnement n'est pas assuré, il est recommandé de prendre des comprimés d'acide folique en complément. Il est vivement conseillé aux femmes qui souhaitent avoir un enfant de prendre de l'acide folique. La combinaison avec le fer apporte une "double" sécurité. L'acide folique et le fer sont tous deux importants pour la formation des cellules et du sang.

Sources

• Crider, K. : Population red blood cell folate concentrations for prevention of neural tube defects -bayesian model, in : BMJ (2014).
• Lignes directrices de l'OMS : Daily iron and folic acid supplementation in pregnant women (2012).

Floradix® pendant la grossesse

Pendant la grossesse, les besoins en fer augmentent de 100%.

L'oligo-élément fer est important pour la formation du sang, le transport de l'oxygène entre la mère et le fœtus et le développement du cerveau de l'enfant à naître. De plus, l'enfant se constitue en même temps un dépôt de fer pour les premières semaines de vie. Idéalement, les femmes qui souhaitent avoir un enfant doivent remplir leurs réserves de fer dès le début du planning familial. Si une carence en fer est diagnostiquée pendant la grossesse, le médecin traitant recommande généralement de prendre un complément de fer. 

Les femmes enceintes ont besoin de deux fois plus de fer

Une carence en fer pendant la grossesse peut fortement perturber le bien-être de la mère et le bon développement de l'enfant à naître. Les médecins conseillent de remplir les réserves à temps, de préférence dès que l'on souhaite avoir un enfant.

Pendant la grossesse, les besoins en fer de la femme  augmentent de 100 pour cent pour atteindre jusqu'à 30 mg par jour. L'enfant qui se développe puise dans les réserves de fer de la mère avec la formation du sang et la croissance, tout comme le grand "placenta" pour nourrir l'enfant. De plus, l'enfant à naître constitue maintenant ses propres réserves de fer  pour les premières semaines de sa vie. L'alimentation est la seule source d'approvisionnement, mais les aliments riches en fer ne suffisent souvent plus.

Floradix® pendant l'allaitement

Pour la régénération et l'allaitement, le corps a besoin de suffisamment de fer après l'accouchement.

Pour la cicatrisation des plaies, la production de lait et de sang neuf, le corps a besoin de suffisamment de fer pendant l'allaitement. Avec 20 milligrammes par jour au lieu de 15, les besoins restent plus élevés. Parfois, une alimentation saine ne suffit pas à elle seule à combler de telles carences. Les médecins recommandent donc de vérifier les taux de fer même après l'accouchement et, le cas échéant, de les contrecarrer à temps avec une préparation à base de fer. 

Approvisionnement en fer pendant l'allaitement

Le besoin accru en fer pendant la grossesse ne s'arrête pas à la naissance. Pour la régénération et l'allaitement, le corps a besoin de suffisamment de fer.

Un accouchement s'accompagne d'une perte de sang considérable et qui dit perte de sang dit perte de fer. Avec les 500 millilitres en moyenne qu'un accouchement normal coûte à la mère, elle perd environ 200 mg de fer.  Selon l'accouchement, cela peut être plus.  A cela s'ajoutent les pertes dues aux hémorragies post-partum. Comme la grossesse épuise considérablement les réserves de fer de la mère, les besoins peuvent être importants juste après l'accouchement.

Pour la cicatrisation des plaies, la production de lait et la formation de sang, le corps a maintenant besoin de suffisamment de fer. Avec 20 milligrammes par jour au lieu de 15, les besoins restent élevés. Parfois, une alimentation saine ne suffit pas à elle seule à combler de telles carences. Les médecins recommandent donc de vérifier les taux de fer après l'accouchement et, si nécessaire, de les contrecarrer à temps avec une préparation de fer de haute qualité . Une fois les réserves épuisées, il y a un risque d'anémie, appelée "anémie post-partum" - anémie après l'accouchement.

Floradix® pour les enfants

Le fer soutient le développement intellectuel des enfants.

Les enfants et les adolescents peuvent avoir un besoin accru de fer pendant leur croissance. Les symptômes qui accompagnent la croissance peuvent être la fatigue, une attention réduite et moins de motivation. Chez les filles en particulier, le besoin en fer peut augmenter après le début des règles. Une alimentation qui tient compte de la silhouette renforce encore ce phénomène. Même pendant les périodes de grand défi intellectuel, le fer soutient le développement cognitif normal et la performance de la mémoire. 

Quand les enfants ont-ils besoin de plus de fer ?

Ceux qui veulent devenir grands et forts ont besoin de fer. En effet, pour la croissance ainsi que le développement social et intellectuel, le corps a besoin de beaucoup de substances vitales et notamment de cet oligo-élément.

Couvrir les besoins en fer des enfants et des adolescents n'est souvent pas facile. Les petits refusent de manger des aliments variés et sains jusqu'à ce que les parents capitulent et cuisinent à nouveau des pâtes à la sauce tomate. Les grands préfèrent de toute façon les fast-foods. Ceux qui ont de mauvais mangeurs à la maison devraient jeter un coup d'œil à leur approvisionnement en fer. Les enfants et les adolescents en particulier ont un besoin accru de fer.

Le cerveau des enfants se développe rapidement.  Environ 86 milliards de cellules nerveuses doivent être formées, développées et connectées au cours des premières années. Le métabolisme tourne à plein régime et les messagers assurent la coordination - tout cela dépend du fer, même la fourniture de l'énergie nécessaire.  Il en va de même pour la croissance : La division cellulaire nécessaire dépend du fer et, en tant que composant central des globules rouges, le fer fournit l'oxygène avec lequel les cellules du corps produisent leur énergie.

Chez les jeunes aussi, cet oligo-élément devient rapidement une denrée rare. Cela peut être dû à une forte croissance,  à l'augmentation du volume sanguin ou à la perte due au début des règles chez les filles. A cela s'ajoute une alimentation déséquilibrée (fast-food, sucreries) ou des troubles alimentaires. Les quantités excessives de "voleurs de fer" comme le cola ne doivent pas être négligées. Les phosphates et les acides tanniques (tanins) de la boisson gazeuse forment des liaisons difficilement solubles avec le fer dans le système digestif - l'organisme élimine l'oligo-élément sans l'utiliser.

Si les adolescents sont fatigués, peu motivés et irritables, les changements hormonaux ne sont pas toujours en cause. Leur besoin en fer est parfois plusieurs fois supérieur à celui des adultes. Certains "symptômes de puberté" se révèlent être des symptômes de carence en fer, avec des répercussions sur les résultats scolaires. La carence en fer chez les enfants peut entraîner des déficits de développement des années plus tard, avec un retard dans le développement du langage et de la motricité fine, des difficultés dans les tâches d'apprentissage, des compétences sociales moindres et des troubles de l'attention.

Parfois, une alimentation saine ne suffit pas

La base pour avoir des réserves de fer remplies est une alimentation saine. Au cours des premiers mois, il s'agit du lait maternel riche en fer. A partir du 6ème mois, les besoins de l'enfant augmentent en raison de la croissance et de la mobilité et la teneur en fer du lait maternel diminue. A ce moment-là, la viande est recommandée en complément  .  Ensuite, une alimentation mixte variée est idéale :  Beaucoup de fruits et légumes, de la viande, des céréales complètes (pain, céréales), des noix, des produits laitiers, du poisson de mer et beaucoup de liquide. La viande est la meilleure source de fer. Le fer bivalent qu'elle contient est bien assimilé par le corps. Par contre, le "fer trivalent" des aliments végétaux l'est moins. Un verre de jus d'orange (vitamine C) avec le repas augmente le rendement. Les adolescents en forte croissance, les enfants et les jeunes qui ne mangent pas assez ou pas de manière équilibrée, ou qui se font remarquer par leur fatigue et leurs performances en baisse, devraient faire contrôler leur taux de fer par un médecin.

Sources

• Eliot L. : Que se passe-t-il à l'intérieur ? (Berlin 2002).
• Nielsen, P. : Diagnostic et traitement de la carence en fer avec et sans anémie (2016).
• Sanes, D. : Développement du système nerveux (Cambridge 2012).
• Fretham, S. et al. : The Role of Iron in Learning and Memory, in : Advances in Nutrition (2011).
• Marques, R. et al. : Breastfeeding exclusively and iron deficiency anemia during the first 6 months of age, in : Scielo (2014).
• Domellöf, M. et al. : Absorption du fer chez les nourrissons nés au sein : effets de l'âge, du statut en fer, des suppléments de fer, et des aliments complémentaires, dans : The American Journal of Clinical Nutrition (2002).

Floradix® pour les sportifs

Le besoin accru en fer lors d'activités sportives ne doit pas être sous-estimé.

Les sportifs ont besoin de plus de fer

Bien que le corps recycle méticuleusement le fer, 1 à 2 mg sont perdus chaque jour. Chez les sportifs, la perte de fer peut même augmenter.

En tant que "véhicule" pour le transport de l'oxygène dans le corps, le fer est le pivot de notre performance. Le fer donne aux cellules non seulement leur couleur rouge, mais aussi la capacité de lier l'oxygène et de le transporter des poumons vers les cellules du corps. Avec l'oxygène fourni, les enzymes contenant du fer construisent inlassablement sur place des sources d'énergie utilisables de manière universelle - un peu comme une réserve de batteries. Tout le corps en profite.

Floradix® pour végétariens et végétaliens

Pour les végétariens et les végétaliens, il peut être difficile de couvrir les besoins en fer.

Il existe certes des aliments végétaux qui contiennent du fer, comme les légumineuses, les légumes verts, les céréales complètes et les noix. Cependant, l'oligo-élément qu'ils contiennent (fer trivalent) est beaucoup moins bien utilisé par le corps, car il est difficilement soluble sous sa forme trivalente et ne peut pas être absorbé par l'intestin sous sa forme non dissoute. Notre corps utilise mieux le fer divalent, car la forme divalente est soluble dans l'eau et peut donc être absorbée par l'intestin. Si les besoins quotidiens en fer ne peuvent pas être couverts, il est recommandé d'utiliser Floradix® Fer plus B12 végétalien. En effet, c'est justement dans le cadre d'une alimentation végétalienne qu'un apport complémentaire en vitamine B12 est nécessaire, car l'absence d'aliments d'origine animale dans l'alimentation ne permet pas d'en disposer. 

Les aliments végétaux riches en fer

Même sans viande, il est possible d'avoir une alimentation riche en fer. Mais comme le corps absorbe moins bien le fer des aliments végétaux, il faut faire particulièrement attention à la préparation.

Les noix et les graines, les légumineuses comme les lentilles et les haricots, ainsi que les fruits secs sont théoriquement de bonnes sources de fer. Cependant, il faut savoir que le fer dit trivalent des aliments végétaux a une biodisponibilité plus faible que le fer divalent lié à l'hème que l'on trouve dans la viande. Cela signifie que le corps n'absorbe pas aussi bien le fer trivalent.

Il est donc d'autant plus important, dans le cadre d'une alimentation végétarienne ou végétalienne, de favoriser l'absorption du fer de manière ciblée. Cela peut se faire par exemple avec de la vitamine C, de l'acide de fruit ou de l'acide lactique, qui, pris avec du fer, peuvent augmenter la biodisponibilité. Les substances qui empêchent l'absorption ne devraient pas être consommées avec une alimentation riche en fer. Il s'agit entre autres du calcium, par exemple dans les produits laitiers, et des tanins du café, du thé noir et du thé vert.

Il existe également des substances inhibitrices dans les plantes elles-mêmes. L'Institut fédéral allemand pour l'évaluation des risques (BfR) recommande par exemple de faire tremper ou de faire germer les céréales et les légumineuses afin de réduire la teneur en phytates qui inhibent l'absorption du fer.

La préparation est également importante. Par exemple, la cuisson peut entraîner des pertes. par exemple, 100 g de salsifis crus contiennent en moyenne 3,3 mg de fer. Une fois qu'elle a été cuite et égouttée, la valeur n'est plus que de 2,9 mg en moyenne.

Si tu passes à une alimentation exclusivement végétale, il est important de veiller à ce que ton alimentation soit suffisamment riche en fer. Un médecin devrait vérifier régulièrement le statut en fer afin de déterminer à temps si un complément alimentaire avec une préparation à base de fer est nécessaire.

De bonnes sources végétales de fer

Les chiffres indiqués sont la moyenne de la part comestible pour 100 g.             

• Graines de sésame               10 mg
• Amarante, graines          9,0 mg
• Pistache                   7,3 mg
• Graines de tournesol        6,3 mg
• Flocons d'avoine              5,8 mg
• Abricot, séché        4,4 mg
• Amande, douce               4,1 mg
• Noisette                3,8 mg
• Persil                 3,6 mg
• Feuilles de pissenlit           3,4 mg
• Figue, séchée            3,3 mg
• Noix de cajou               2,8 mg
• Prune, séchée          2,3 mg
• Lentilles, cuites            2,1 mg
• Haricots blancs, cuits       2,1 mg
• Mâche                  2,0 mg
• Cornichons salés, cornichons à l'aneth salé (au lait) 1,6 mg
• Endive                  1,4 mg
• Petits pois, verts, cuits et égouttés  1,3 mg
• Groseilles à grappes noires       1,3 mg
• Framboise                 1,0 mg

Source de toutes les informations sur la teneur en fer des aliments : Souci, Fachmann, Kraut : [La composition des aliments, tableaux nutritionnels] Food composition and nutrition tables. Stuttgart, 2008 (7e édition, révisée et complétée).

Sources :

• Bundesinstitut für Risikobewertung : Questions et réponses sur le fer dans les aliments (2017).
• Nielsen, P. : Diagnostic et traitement de la carence en fer avec ou sans anémie (Bremen 2016).
• Souci, S. et al. : La composition des aliments, tableaux des valeurs nutritives (Stuttgart 2008).

Floradix® pour la tranche d'âge des 50 ans et plus

Avec l'âge, il est judicieux de garder un œil sur l'approvisionnement en fer.

La carence en fer devient particulièrement préoccupante dans la deuxième moitié de la vie, car des symptômes tels que la fatigue et le manque d'énergie peuvent aggraver les troubles existants. De plus, la capacité de l'intestin à absorber le fer diminue avec l'âge. Il est donc judicieux de garder un œil sur l'approvisionnement en fer. 

Le fer est particulièrement important à partir de 50 ans

Lorsque la fatigue s'installe, que la concentration diminue ou que le cœur ne veut plus rien faire, l'âge n'est pas toujours le seul responsable. Il pourrait aussi s'agir d'une carence en fer.

Le fer est important pour la performance et le maintien de la santé. Cela concerne avant tout l'approvisionnement en oxygène. Environ deux tiers du fer corporel sont responsables du transport de l'oxygène en tant que composant du pigment rouge du sang, l'hémoglobine, sur les globules rouges. Tous les organes, en particulier le cœur et le cerveau, dépendent d'un approvisionnement suffisant. Avec l'oxygène fourni, ils produisent l'énergie nécessaire à leur performance, notamment la fonction de pompage du cœur, l'endurance et la force des muscles, la performance du cerveau et la production de chaleur corporelle.

Floradix® pour les seniors

Avec l'âge, il n'est souvent pas si facile de manger riche en fer.

Les changements d'habitudes alimentaires et le manque d'appétit peuvent être la raison d'un mauvais apport en fer chez les personnes âgées. De plus, l'absorption normale de fer par l'intestin diminue avec les années. Enfin, les besoins en fer augmentent également pendant la période de récupération après une maladie ou la prise de certains médicaments. C'est pourquoi il faut absolument veiller à un apport suffisant en fer dans l'alimentation. En cas de mauvais taux de fer, le médecin de famille peut t'aider. 

Des substances vitales pour les meilleures années

L'âge met souvent des obstacles à une alimentation saine. Par exemple, le manque d'appétit ou les problèmes dentaires peuvent rendre difficile l'absorption de substances saines via l'alimentation. C'est pourtant à ce moment-là qu'un menu varié et complet est particulièrement important.

Avec les années, le corps a besoin de moins en moins de calories, car le métabolisme de base diminue et la masse musculaire qui consomme de l'énergie diminue. En revanche, le besoin en substances vitales augmente, car l'organisme a de plus en plus de mal à les assimiler et de nombreux processus métaboliques ne fonctionnent plus "comme sur des roulettes". Le menu devrait contenir beaucoup de fruits et légumes frais, ainsi que des céréales complètes, de la viande maigre, du poisson, des produits laitiers (peu de beurre), des légumineuses, des noix, des graines et des huiles végétales.

Floradix® en cas d'anémie ferriprive due à une inflammation

Tous les corps n'absorbent pas le fer de la même manière.

Le métabolisme du fer dans le corps est un ensemble de règles très fines. La thérapie par le fer avec des médicaments intervient lorsque l'alimentation ne permet pas d'absorber ou de disposer de suffisamment de fer pour assurer les besoins en fer et pour prévenir la carence en fer. Cependant, augmenter l'apport en fer en fonction des besoins ne fonctionne pas toujours. Dans ce cas, il peut être utile de se concentrer sur le métabolisme et de l'influencer pour qu'il utilise mieux le fer de l'alimentation. La protéine lactoferrine peut aider à activer l'utilisation biophysiologique du fer, en particulier en cas de carence en fer due à une inflammation. 

Qu'est-ce que la lactoferrine ?

Tous les corps n'absorbent pas le fer de la même manière. La protéine lactoferrine peut aider à activer l'utilisation du fer, en particulier en cas de carence en fer due à une inflammation.

1. Transfert du fer de l'intestin vers le sang

Le fer ingéré (marqué comme "Fe" dans le graphique) arrive dans l'intestin par la voie digestive normale. Là, la ferroportine, une protéine de transfert du fer, fait en sorte que le fer alimentaire passe des cellules de l'intestin grêle dans la circulation sanguine.

2. Effet de l'inflammation

Dès que nous consommons du fer, le foie commence à produire un peptide de 25 acides aminés. Cette petite protéine est appelée hepcidine. Selon les connaissances actuelles, elle régule le taux de fer dans le sang. Si le taux de fer dans la circulation sanguine est élevé, le foie produit plus d'hepcidine, qui dégrade la protéine de transfert du fer, la ferroportine. Ainsi, moins de fer passe dans le sang. L'hepcidine est également sécrétée en cas de réactions inflammatoires. Ainsi, les inflammations déjà existantes peuvent augmenter le taux d'hepcidine et bloquer le transfert dans le sang - même si le besoin en fer existe.

3. La lactoferrine favorise l'absorption du fer

La protéine lactoferrine réduit les facteurs d'inflammation et favorise ainsi l'absorption du fer dans le sang et sa mise à disposition dans le corps. Les blocages du transfert de fer causés par l'hepcidine suite au signal d'inflammation sont minimisés. Grâce à cet effet positif sur le métabolisme du fer, les taux sanguins et le taux d'Hb peuvent se stabiliser.

La protéine lactoferrine

Pour l'utilisation thérapeutique, la lactoferrine est extraite en douceur du lait de vache écrémé, tout en conservant son activité physiologique. D'ailleurs, c'est aussi un composant du lait maternel, où elle inhibe les processus inflammatoires. La protéine n'a pas de goût et peut être prise sous forme de capsule. En accord avec le médecin, elle peut être utilisée à long terme pour le traitement diététique de l'anémie ferriprive. Il est important que l'apport normal en fer dans les aliments ou l'apport médicamenteux en fer soient maintenus. L'utilisation de la lactoferrine peut également être utile pour le traitement de la carence en fer due à une inflammation, voire de l'anémie.

Sources

• Paesano, R. et al. : Body iron delocalization - the serious drawback in iron disorders in both developing and developed countries, in : Pathogens and Global Health (2012).
• Schümann, K. et al. : Risques et avantages de la supplémentation en fer : les recommandations sur l'apport en fer vues de manière critique, in : Perspectives in Medicine (2014).